Didier Raoult, le directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Mediterranee Infection de Marseille (Bouches-du-Rhone), a explique avoir mene un essai clinique durant lequel il avait traite 25 personnes contaminees par le coronavirus avec de la chloroquine. Apres six jours, il n'y avait plus que 25 % des patients ayant pris ce medicament qui avait toujours le virus dans le corps, soutient ce specialiste. En revanche, 90 % de ceux qui n'avaient pas pris de chloroquine continuaient a etre porteurs du Covid-19.
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Concernant les bémols émis quant à la méthodologie de ses récents essais cliniques : "C'est contre-intuitif, mais plus l'échantillon d'un test clinique est faible, plus ses résultats sont significatifs. Les différences dans un échantillon de vingt personnes peuvent être plus significatives que dans un échantillon de 10.000 personnes. Si on a besoin d'un tel échantillonnage, il y a des risques qu'on se trompe. Avec 10.000 personnes, quand les différences sont faibles, parfois, elles n'existent pas." Il poursuit : "Je prescris la chloroquine depuis vingt-cinq ans et je publie à ce sujet dans des revues depuis treize ans. Je suis un chercheur international, j’essaye d’être indifférent au fait que mes coreligionnaires ne me croient pas, ou à ce qu’on raconte sur les plateaux télé." Il tient à nous en dire davantage sur l'avancée des recherches contre le coronavirus : "Je peux vous dire qu'on a tout testé, il reste quelques chances de réussites avec le Remdésivir, sinon c'est la chloroquine qu'il faudra, et qu'il faut déjà utiliser. Il n'y a plus d'autres options." Les effets secondaires sur le plan oculaire n’arrivent jamais avec des prescriptions d'environ dix jours comme celles auxquelles nous aurions affaire face au coronavirus : elles interviennent au bout de cinq ans, sur 1 % des patients. Le succès, annoncé lundi 16 mars à Marseille, du traitement à la chloroquine – une molécule utilisée pour lutter contre le paludisme – de patients contaminés par le Covid-19 a fait grand bruit en cette période d'épidémie galopante qui a contraint toute la France au confinement. Ces spécialistes ont donc cherché à savoir quel pouvait être l'effet de l'hydroxychloroquine sur la charge virale de patients infectés par le SARS-CoV-2, dans le cadre d'une étude préliminaire ayant inclus 36 patients : 20 recevant de l'hydroxychloroquine et 16 un traitement de support des symptômes (groupe témoin). Certes, le dernier groupe ne comporte que six patients et "on ne peut encore considérer qu'une démonstration soit faite". Aucun risque majeur n'est à déplorer, simplement un principe de précaution général : pour certains patients il faudrait passer un électrocardiogramme avant d'y recourir. Ces premiers résultats sont en cours de publication, mais il est utile de les commenter rapidement, car ils sont déjà fortement médiatisés ! Jusqu’à la présentation de ses récents essais cliniques, Didier Raoult ne trouvait pas audience dans les hautes sphères de l’Etat et du ministère de la Santé. "C'est une étude qui semble prometteuse, mais il faut vraiment faire attention avant de susciter des élans d'espoir avec un virus aussi nouveau que celui-ci pour lequel on ne dispose pas encore de beaucoup de données", souligne Sarah D'Alessandro, docteure en médecine moléculaire à l'université de Milan et spécialiste du paludisme qui a travaillé sur la chloroquine, contactée par France 24.
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